Cette semaine, l’interview ( une fois )

L’interview puissance 7…

Cette semaine, chers amis pongistes internautes, votre site préféré est allé à la rencontre de la famille Durello.

Ils viennent directement de Belgique, ils sont 7 et ils jouent tous ( ou presque ) au ping.

Vous les avez sûrement reconnus, c’est la nouvelle tribu pongiste de l’ASCL Tennis de Table, ceux qui ont fait tomber le record de la dynastie Zaragoza.

Cela fait déjà 6 mois, qu’abandonnant les douceurs fiscales de leur plat pays, ils goûtent au bon soleil du Midi.

C’est d’ailleurs après avoir découvert, à la faveur de vacances en 2005, le charme estival de notre région que l’idée de s’installer à l’ombre des contreforts cévenols les a éffleurés.

Ainsi, Yanis ( 4 ans ), Janelle ( 7 ), Aurore ( 12 ), Romain ( 14 ), Delphine ( 16 ), Vanessa ( on ne dit pas ) et Albert ( non plus ! ) sont venus enrichir le club de leur gentillesse et de leur implication.

Les Durello en quelques chiffres :

ils sont 7 dont 5 enfants partagés en 4 établissements scolaires différents ( 1 en maternelle à Tornac, 1 autre en primaire à Massillargues, 2 en collège à Anduze et 1 en lycée à St Christol ) ;

ils pratiquent 2 sports : le ping pour 6 d’entre eux et le judo pour Delphine ( ceinture marron ) ;

leurs classements vont de non classés à 1500 ( C6 en Belgique ) ;

ils représentent plus de 78 ans de ping à eux tous ;

ils s’entraînent 6 jours par semaine ( du lundi au samedi ) en fréquentant à eux seuls au moins 6 créneaux d’entraînement et le dimanche…ils se reposent ?..que nenni : compèt’ !

« Au total, cela fait plus de 1000 km par semaine » nous confie Albert.

« On vient d’ailleurs de changer de voiture » ajoute Vanessa.

Arrive la fin de l’entretien, tout à fait innocemment, THE QUESTION est posée :

« Au championnat du monde, en cas de nouvelle finale franco-belge, Gatien-Saive, à qui iraient vos plus forts encouragements ? ».

Belges jusqu’au bout des raquettes ( ou des kimonos ), ils offrent tous sans hésiter leurs voix à Jean-Michel Saive.

Tant pis, c’était bien tenté.

Pour conclure, le patriarche de la famille nous confie une blague typiquement française qui est en fait une sorte de blague belge sur les français mais racontée en Belgique par des belges ( et vice-versa ) :

« – Comment tue-t-on un français ?

– On prend un fusil,

on vise 30 cm dessus de sa tête…

en plein dans son complexe de supériorité. »

Famille Durello, Merci et à bientôt sur les tables…